Les Echos a obtenu les résultats du premier bilan pour TGVMax, et ils sont largement positifs. La moitié de la progression du trafic TGV depuis le début de l’année (+6%) est dû aux voyageurs abonnés à cette formule. Mieux encore, au mois de mars 7% du trafic en seconde classe provient des clients TGVMax. Ce sont 900 000 voyages qu’ils ont effectués ou réservés.
Le succès auprès des jeunes est de bon augure pour la SNCF, car c’était bien cette clientèle qui était ciblée. Ces voyageurs au budget limité commençaient à se détourner du TGV pour des formules moins onéreuses : covoiturage, cars « Macron »… La nouvelle offre de la SNCF est intervenu à point nommé pour renverser la vapeur, et remplir les trains qui circulent avec 65% de leurs sièges occupés.
Un train sur dix seulement affiche en effet complet, généralement durant les heures de pointe des vendredis et dimanches soirs. De fait, l’offre TGVMax ne concerne pas les TGV à très forte affluence, qui touchent 6% des trains à grande vitesse. Cette formule incite fortement les abonnés à voyager dans les trains qui circulent aux heures creuses afin de redorer un taux de remplissage en berne. Finalement, tout le monde est gagnant : la SNCF remplit ses trains, les jeunes voyagent à prix cassé.
Le succès auprès des jeunes est de bon augure pour la SNCF, car c’était bien cette clientèle qui était ciblée. Ces voyageurs au budget limité commençaient à se détourner du TGV pour des formules moins onéreuses : covoiturage, cars « Macron »… La nouvelle offre de la SNCF est intervenu à point nommé pour renverser la vapeur, et remplir les trains qui circulent avec 65% de leurs sièges occupés.
Un train sur dix seulement affiche en effet complet, généralement durant les heures de pointe des vendredis et dimanches soirs. De fait, l’offre TGVMax ne concerne pas les TGV à très forte affluence, qui touchent 6% des trains à grande vitesse. Cette formule incite fortement les abonnés à voyager dans les trains qui circulent aux heures creuses afin de redorer un taux de remplissage en berne. Finalement, tout le monde est gagnant : la SNCF remplit ses trains, les jeunes voyagent à prix cassé.